Plus que jamais en 2019, les prix de l’immobilier dessinent un paysage scindé en deux : celui des métropoles face aux communes à plus faible densité. La concentration des emplois explique en grande partie ce glissement. Décryptage de cette « fracture immobilière ».
Une hausse des prix de l’immobilier dans les métropoles
Dans les métropoles, les prix de l’immobilier augmentent. La raison ? L’accessibilité à l’emploi. Les Français s’installent là où se trouvent les opportunités professionnelles. L’attractivité des grandes zones urbaines et leur forte croissance démographique entraînent inévitablement une augmentation des prix.
Aujourd’hui, les prix sont en hausse pour la vente d’appartements neufs à Nantes, Bordeaux, Lyon ou encore Paris où le marché immobilier d’Ile de France est en pleine effervescence. Pour investir, vous pouvez profiter dès maintenant de dispositifs de défiscalisation comme la loi Pinel dans le cadre d’un investissement immobilier.
Des prix de l’immobilier en baisse pour les communes à faible densité
Actuellement, cette « métropolisation » des prix immobiliers tend à s’accentuer : le prix des logements en zone rurale est en baisse. L’accès à la propriété en campagne est donc facilité avec un budget moins élevé. L’emplacement de certaines zones rurales est idéal pour une location saisonnière ou à l’année afin de percevoir des revenus fixes et réguliers.
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